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ANALYSE

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Les deux facettes de la nostradamologie : sources et faux

par Jacques Halbronn

    Dans sa dernière étude1, Lucien de Luca se croit obligé de conclure ainsi :

   “On retrouve ces trois ou quatre emprunts, chacun dans des ouvrages différents (...) ouvrages généralement attribués au seul et unique auteur incontestable de l’Orus Apollo et de la Paraphrase (de Galien) ; on en conclut alors que l’auteur des Prophéties, reproduisant ici et là les divers thèmes développés tantôt dans l’un, tantôt dans l’autre est bien le médecin de Salon, le bibliophile dyslexique, le mystique polyglotte, l’énigmatique verbicruciste, Michel de Nostredame et personne d’autre. On en conclut aussi que la meilleure façon d’étudier l’oeuvre du médecin de Salon est bien de la considérer comme toute autre oeuvre littéraire, comportant un ensemble de relations sémantiques et de sources, à assembler les unes aux autres, avec des inconnues et des zones d’ombre à explorer mais aussi des certitudes matériellement établies que tout lecteur honnête respectera, faute de quoi il passera pour un de ces ineptos criticos, crédules incrédules, amateurs de fantaisies ahurissantes et d’impostures absurdes.”

   A tort ou à raison, bien que notre nom ne soit pas même cité, ni la moindre de nos études papier ou internet, nous nous sentons interpellé par certaines formules assez désobligeantes, ce qui nous donne un certain droit de réponse.

   Très franchement, nous ne voyons vraiment pas ce qui permet à Lucien de Luca de pavoiser ainsi. On ne peut que regretter de voir un travail de recherche sérieux entaché de telles conclusions et disons-le de propos polémiques superfétatoires.

   Qui conteste, en tout état de cause, que les textes parus sous le nom ou en référence à Nostradamus ne sont pas pris de telle ou telle œuvre ? Bien au contraire, nous avons déjà souligné à quel point des faussaires étaient particulièrement enclins à emprunter pour produire des contrefaçons (cf. infra).

   Bien au contraire, un auteur, dans le plein sens du terme, ne se servira pas de tels expédients et fera autre chose qu’une compilation. Plus le caractère compilatoire des Centuries et autres textes est mis en évidence et moins la paternité de Nostradamus nous semble vraisemblable.

   Lucien de Luca poserait-il comme postulat qu’un faussaire ne peut réaliser qu’un seul ouvrage et non point plusieurs ? Il lui suffit de retrouver des éléments communs à plusieurs textes pour décréter non seulement qu’ils sont du même auteur mais que cet auteur ne saurait être autre que Nostradamus, “l’unique, le seul”. Encore faudrait-il partir d’un texte dont Nostradamus est à coup sûr l’auteur, sans oublier la possibilité d’emprunts, d’imitations par les faussaires ou successeurs au dit Nostradamus. Lucien de Luca fait référence aux pratiques universitaires en vigueur pour l’étude d’un auteur mais précisément, à notre connaissance, on évite d’y prendre des vessies pour des lanternes et c’est notamment le cas en Histoire de la Peinture.

   Ce dont nous parle de Luca, c’est d’un certain travail réalisé à partir de certaines sources qu’il identifie. Jusque là nous le suivons. Mais quant à déterminer l’identité de l’auteur du dit travail, nous pensons qu’il ne prouve strictement rien.

   Les textes dont de Luca se sert, quels sont-ils d’ailleurs : la traduction de la Paraphrase de Galien, la traduction d’Orus Apollo, restée manuscrite, et les Centuries, sans oublier les Significations de l’Eclipse qui sera le 16 septembre 1559.

   L’argument de de Luca est d’ailleurs à double tranchant: en mettant en évidence certaines parentés entre textes, il peut tout aussi bien souligner à quel point certains quatrains sont marqués par la même inspiration que tel ou tel texte nostradamique douteux tout comme, en effet, il peut espérer sauver la mise en raisonnant en sens inverse. C’est un peu jouer à quitte ou double !

   On l’a déjà observé à plusieurs reprises, la recherche des sources ne conduit nullement à démontrer l’authenticité d’une oeuvre et d’ailleurs il serait regrettable que l’on conditionne l’étude des sources à tel ou tel enjeu concernant le personnage de Nostradamus car, dans ce cas, l’on pourrait se demander si certaines sources ne sont pas occultées quand elles ne collent pas avec la thèse défendue, notamment si elles se référent à des éditions ou à des événements postérieurs aux dates affichées de certaines éditions.

   Il y a quand même là un paradoxe assez comique : ce n’est quand même pas en travaillant sur ce qu’un texte emprunte à un autre que l’on mettra en évidence son authenticité et son originalité et ce d’autant que des auteurs différents peuvent se partager une même source ou se recopier.

   Que penser de cette formule : “On remarquera que seul Nostredame se singularise par une variante échangeant mirabile contre mutabile etc.” Que nous montre en réalité de Luca sinon une particularité du texte nostradamique et nullement de Nostradamus ?

   D’ailleurs, De Luca débute ainsi son étude : “On peut aujourd’hui confirmer que l’auteur à l’origine de cette strophe n’est pas Nostredame comme le pensait aussi Brind’amour car nous l’avons retrouvée dans (un) ouvrage de Petrus Apianus etc.” A la bonne heure, se dit-on. Et puis, ne voilà-t-il pas que De Luca nous parle à chaque page de façon récurrente de Nostradamus par ci et de Nostradamus par là alors qu’il sait pertinemment que cela n’est pas établi, on est là en pleine application de la méthode Coué :

   “Nostradamus a recopié sa strophe latine etc.
On pourrait parier que Nostredame aurait choisi de l’insérer etc.
On devra remarquer encore que Nostredame ne s’est toutefois pas limité à ce seul emprunt etc.
Nostredame aurait-il pu trouver ailleurs cette formule...
Nostredame a ajouté un mot absent du texte latin.
Est-il possible que Nostredame ait inventé pour le compte de ses Prophéties ce rôle de mère-épouse ?”

   En vérité, de Luca prêche ici des convaincus. Qui lui contesterait en effet que les textes nostradamiques sont lourdement redevables à des emprunts ? Mais pourquoi un tel acharnement à vouloir démontrer au delà de ce qui nous est présenté, cette tendance à forcer la main au lecteur, par une sorte d’abus ? Certes, “on comprendra mieux pourquoi cet ouvrage d’Apianus doit désormais faire partie des références obligées pour toute recherche sur le corpus nostradamien”. Dont acte à condition de comprendre “nostradamien” comme “nostradamique”, au sens du Répertoire Chronologique Nostradamique de R. Benazra.

   Tout se passe en fait comme si De Luca avait coutume d’apparaître comme un démystificateur de Nostradamus et que soudain il se trouvait face à quelqu’un qui allait encore plus loin que lui, dans ce sens. D’où un propos assez contradictoire et déroutant, propre à quelqu’un qui se bat sur deux fronts.

   En réalité, quoi d’étonnant à ce que l’on fasse du faux Nostradamus ? La chose est aussi banale que la question des emprunts : on emprunte des textes, on emprunte des identités, ce sont les deux faces d’une même médaille.

   Nous avons expliqué assez longuement dans Prophetica Judaica Beth2 comment un tel processus se met en place. Afin de faire paraître un texte censé avoir été écrit par Un Tel, on est amené à compiler des textes divers et à les changer de contexte. Or, rien n’est plus simple que de rendre prophétique un texte à partir du moment où on le présente sous l’étiquette prophétique; n’importe quoi peut faire l’affaire, même un Guide de voyages, comme l’a montré Chantal Liaroutzos, à propos de la (sic) Guide des Chemins de France de Charles Estienne, c’est dire.

   Autant un auteur peut-il passer de longues heures voire des années à composer son oeuvre sans d’ailleurs toujours savoir quand et s’il la publiera, autant un faussaire agit-il dans un cadre différent, qui exige une certaine rapidité et qui implique de recourir à des expédients. Ce qui nous fait répondre à Lucien de Luca que son travail, après celui de Chantal Liaroutzos et de quelques autres, met en lumière des expédients qui trahissent ipso facto le faux.

   Mais il existe une autre hypothèse que nous avons développée récemment3, à savoir faire de Nostradamus, lui-même, un faussaire, cherchant à produire vite fait des Centuries. De deux choses l’une donc : ou bien certains textes sont de Nostradamus mais sont des contrefaçons à son initiative ou bien ces textes sont conçus comme pouvant se faire passer pour l’oeuvre de Nostradamus en train de fabriquer des contrefaçons. Tant qu’à faire, nous préférons la seconde hypothèse.

   En tout état de cause, il conviendrait aussi de se demander quelle est la finalité de ces textes prophétiques (cf. notre TPF). Ce qui caractérise ce type de texte, c’est la nécessité de placer quelques formules, quelques petites phrases, au sein d’un ensemble aussi touffu que possible pour, de la sorte, avoir l’occasion, comme par hasard, de les (re)découvrir, perdues dans la masse. D’où le procédé du remplissage, fort bien décrit par Lucien de Luca, consistant à compiler différents textes qui, en pratique, ne serviront que de décoration et de faire valoir pour le “vrai” message. Certains ont encore du mal, apparemment, à concevoir qu’on ait pu dépenser autant d’énergie pour simplement constituer un cadre au sein duquel une perle sera incrustée. Lucien de Luca confond ainsi le cadre et le tableau, le contenant et le contenu. Il nous parle de la fabrication de l’emballage bien plus que du message. Mais c’est justement en définissant ce qui est emballage que par élimination on accédera au message et là encore non point celui de Nostradamus mais celui de ceux qui se servent de son nom. Encore une fois, le procédé est simple : on prend quelqu’un qui est en vue et on lui attribue quelque chose qui n’est pas de lui, en imitant son style ou en recyclant un texte déjà existant, du à un tiers, et en le mettant sur le compte de la personne visée. Telles sont les ficelles du métier de faussaire.4

   Face à ce qui est mort ou lointain, les hommes n’ont rien trouvé de mieux que de mettre en place des substituts, des ersatz, à commencer par les idoles de dieux ou de princes, du fait de leur non accessibilité. Les astres aussi ont donné lieu à des analogies permettant de les remplacer en raison de leur distance. La mort, également, nous invite à de telles pratiques de substitution. Cela revient d’ailleurs à faire parler les morts, d’outre tombe. En ce sens, un certain nostradamisme nous semble bel et bien s’apparenter à une forme de nécromancie.

   Ce qui est étonnant n’est pas au vrai que certains se soient essayé, en leur temps, à un tel exercice, c’est que nos contemporains, des siècles plus tard, après des décennies de critique textuelle, se laissent encore leurrer par de tels subterfuges.

   Il est donc dommage de voir un si beau travail de recherche dont on ne peut que féliciter M. De Luca mis au service d’une mauvaise cause. Le problème que nous posions plus haut est le suivant : et si M. De Luca avait trouvé une source qui ne pouvait pas être connue du vivant de Nostradamus ou en tout cas impossible à connaître dans les années 1550, l’aurait-il signalée ? On nous répliquera peut-être que le contraire est également possible, à savoir une source qui prouverait que tel emprunt était possible dès telle année. Malheureusement, la réciproque n’est pas vrai puisque tel ouvrage paru en telle année peut fort bien avoir été utilisé bien plus tard, tel événement de telle époque peut avoir été signalé à une date sensiblement ultérieure. La capacité des hommes à conserver le souvenir des choses est moins improbable que celle des hommes à anticiper sur ce qui n’est pas encore advenu. C’est pourquoi le travail d’un Delcour ou d’un De Luca ne sont pas en mesure de contribuer sérieusement au débat sur ce qui constitue la chronologie de la mise en place du corpus nostradamique. Ils n’ont visiblement pas développé les méthodes adéquates pour ce faire et il convient de les dissuader d’outrepasser leur seuil de compétence en leur enjoignant de rester sur un terrain qu’ils maîtrisent, ce qui est déjà très bien. Dans le milieu nostradamique, il est bon que chacun reste à sa place, il y a des spécialisations à respecter. Et c’est ainsi que les poules seront bien gardées. En revanche, on ne peut que souhaiter que chacun bénéficie du travail d’autres chercheurs et en tienne compte pour tenir des propos qui ne fassent pas inutilement problème et n’hypothèquent inutilement la qualité scientifique de leurs investigations et de leurs trouvailles. Pour notre part, nous tenons le plus grand compte des travaux des uns et des autres en veillant à ce que nos propos ne soient pas inconciliables avec leurs acquis, tout en faisant, cependant, on s’en doute, la part de ce qu’il y a de solide dans leurs recherches - les perles qu’ils ont su recueillir - et de ce qui relève de préjugés qui parfois parasitent, de façon regrettable, celles-ci.. Mais, on ne peut que saluer une certaine amélioration, chez certains auteurs - on pense à Mathieu Barrois et à Patrice Guinard - qui désormais évitent les polémiques inutiles et s’en tiennent à décrire des documents sans se laisser tenter par des extrapolations. N’est-il pas plus raisonnable, en effet, de parler de telle épître portant telle date, se présentant comme adressée à tel personnage, de telle édition portant la mention de tel libraire, de tel emprunt de tel texte à telle source, sans pour autant basculer dans le discours biographisant en affirmant que Nostradamus a écrit ceci ou cela, à telle date ? Soyons plus factuels, de grâce et ne disons pas plus que ce qui se présente à nous, si nous voulons que les études nostradamiques, qui reviennent de loin et qui portent encore certains stigmates dus aux délires interprétatifs, soient mieux respectées et surtout attirent toujours plus d’esprits de qualité, exigeants et rigoureux.5 Il y a deux spécialisations majeures, au niveau universitaire, à propos du corpus nostradamique : la question des sources et des emprunts et la question des faux et des imitations, étant entendu - mais cela reste accessoire - que les sources nous éclairent sur la fabrication des faux et que les faux nous expliquent les raisons des emprunts ; en outre tout emprunt ne comporte-t-il pas une dimension mimétique ? Il est souhaitable, d’ailleurs, que certains nostradamologues, moins doués pour la recherche de fond, s’occupent de faire la synthèse de l’ensemble des travaux des uns et des autres.

   Cela dit, le problème posé par Lucien de Luca interpelle l’historien des textes : comment savoir de qui est un texte par delà la question des influences qu’il subit nécessairement et en quoi l’étude des sources peut se révéler utile pour conduire pareille recherche ? Il semble que la démarche de De Luca soit la suivante : on part du principe que tel auteur a produit tel corpus et l’on s’efforce de montrer quelle est la relative unité du dit corpus. Mais un tel exercice a ses limites car on trouve assez facilement des convergences, parfois fortuites, parfois dues à des sources communes à plusieurs auteurs, parfois propres à une certaine époque, à un certain genre. Il est clair qu’il ne suffit pas que quatrain il y ait pour qu’on puisse en faire ipso facto du Nostradamus ou d’affirmer comme P. Guinard que le style de Nostradamus est inimitable et donc ne peut être que de lui ! Pour notre part, nous tendons à procéder par élimination : il nous semble plus facile de prouver qu’un document est un faux plutôt que de démontrer qu’il est authentique. Dès lors si l’on ne parvient pas à prouver que le document considéré est un faux, il sera considéré, jusqu’à nouvel ordre, comme authentique. De même, on est en bonne santé tant qu’aucune maladie n’est détectée. Mais qu’est-ce qu’un document contrefait ? Le plagiat, l’emprunt, sont des facteurs de suspicion et il aura suffi de montrer que le Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu de Maurice Joly avaient été repris dans les Protocoles (cf. supra) pour discréditer, un peu vite d’ailleurs, ces derniers. Ce que certains semblent avoir du mal à comprendre, c’est la situation de l’imitateur plagié. Imaginons que j’imite tel auteur si heureusement que l’auteur ainsi imité ou ceux qui ont charge de ses intérêt revendiquent la paternité de mon travail ! Situation délicate, on l’avouera et qui pourrait fort bien correspondre peu ou prou à la réalité du phénomène Nostradamus.

   Donc, notre position est la suivante : on est innocent jusqu’à ce qu’on nous ait trouvé coupable mais personne ne saurait être considéré innocent une fois pour toutes. Nous avons accumulé un nombre d’observations assez considérable qui conduisent à mettre en doute l’authenticité de nombreuses pièces nostradamiques, à un titre ou un autre. On ne peut ignorer ces travaux comme semble le faire Lucien de Luca qui refuse d’en tenir le moindre compte, alors que les observations en question concernent un très grand nombre d’éléments. On peut certes essayer de démontrer, point par point ou sur tel point que nos analyses peuvent être réfutées mais on ne peut certainement pas se contenter de décrire ce qui va bien pour exclure ce qui va mal. Imaginons l’avocat d’un assassin qui passerait des heures de sa plaidoirie à nous montrer tout ce qui est honorable et normal chez son client, sans prendre la peine de réfuter les accusations, les témoignages à charge ! Le monde est ainsi fait que le bien n’existe qu’une fois éliminé le mal. Un homme est honorable jusqu’à ce qu’il soit déshonoré. Ce qui est vraiment de Nostradamus, c’est ce qui résiste à la critique, qui reste inattaquable dans l’état actuel des choses et encore faut-il préciser que la mise en évidence d’une source ne prouve absolument pas qu’un texte soit un faux. Mais à partir du moment où un corpus est “mis en examen”, on ne peut pas faire comme s’il ne l’était pas. Or, qu’est ce qui fait qu’un corpus est suspect si ce n’est justement ses emprunts mais aussi les textes qui ont emprunté au dit corpus et qui ont fini par s’y agréger ? Rappelons cette vérité : les hommes sont doués pour conserver, transmettre, ils le sont aussi pour imiter, ils le sont nettement moins pour prévoir. Tout se passe comme si certains nostradamologues ignoraient cette évidence et trouvaient normal que l’on puisse prévoir - alors que toute prévision réussie est suspecte6 - et franchement étonnant que l’on puisse imiter- voire s’imiter mutuellement - ou transmettre, conserver - des années durant - certains documents. Il n’est aucun corpus qui soit définitivement au dessus de tout soupçon et de toute critique, qu’on se le dise !

Jacques Halbronn
Paris, le 30 juin 2004

Notes

1 Cf. “Nostradamus lecteur d’Apianus”, Espace Nostradamus. Retour

2 Cf. Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Feyzin, Ed. Ramkat, 2002. Retour

3 Cf. notre article sur “le pseudo-recueil de prophéties”, Espace Nostradamus. Retour

4 Cf. notre étude sur les ficelles du métier d’astrologue, L’astrologue et son client, Paris, Ed. La Grande Conjonction, 1996, Préface de J. P. Sauzède, trad. Anglaise dans Encyclopaedia Hermetica, rubrique Astrologica. Retour

5 Cf. notre article de préparation au deuxième colloque Nostradamus de Paris, sur Espace Nostradamus. Retour

6 Cf. le récent film Qui perd gagne, sur les gagnants au loto. Retour



 

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